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L'erreur de trop
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Recueil de nouvelles - Préface d'André Besson - 168 pages - Couverture cartonnée  - Format 14 X 21 cm - Souffle court Editions - Collection L'Atelier - 2019 - ISBN 9791095642114.

Prix Louis Pergaud 2020 

Toutes ces erreurs dont la vie nous accable. Qu’elle nous impose ou que nous faisons de nous-même. Il en suffit d’une, celle de trop, pour que notre univers bascule.

Loin d’être une fatalité, elles peuvent nous donner l’occasion de prendre une nouvelle direction ou de nous reconstruire une autre vie.

Pour les plus faibles ou les moins chanceux, elles déboucheront sur des drames qui laisseront à jamais des cicatrices avec lesquelles ils devront apprendre à vivre. Pour les autres, elles ne seront que de mauvais souvenirs.

À travers ces nouvelles, j’ai mis en scène des personnages chez lesquels elles ont pris une place qu’ils n’auraient jamais soupçonnée.

Certains d’entre eux en paieront le prix fort…

Préface d'André Besson

L’art de la nouvelle a toujours été un genre littéraire difficile. D’abord par sa brièveté, son besoin de concision. Celui d’aborder des sujets capables de susciter dès les premières lignes l’intérêt des lecteurs. De capter leur attention. A l’époque romantique, beaucoup de grands écrivains l’ont pratiqué : Victor Hugo, Prosper Mérimée… Mais c’est surtout Maupassant qui lui a donné ses lettres de noblesse.

Jusqu’à la Seconde Guerre mondiale, ce genre s’est bien développé. Louis Pergaud avec « De Goupil à Margot », Jean Giono avec « L’homme qui plantait des arbres », Marcel Aymé avec « Le Passe-Muraille » ont écrit des textes que l’on n’a pas oubliés. Après la Libération, les intellos du monde germanopratin qui imposent depuis Paris leurs goûts en matière d’art et de littérature à l’ensemble du pays ont dénigré la nouvelle. Beaucoup d’éditeurs ont renoncé à en publier. Seule la littérature policière n’a pas été touchée par les oukases des petits marquis de Saint-Germain-des-Prés. Après avoir obtenu, en 1971, le Grand Prix du Roman Policier CIF, j’ai continué à pratiquer cet exercice sous ma signature et divers pseudonymes dans de nombreuses revues spécialisées. Comme lecteur, je me suis toujours intéressé à ce genre littéraire qui commence heureusement à refleurir de nos jours en librairie.

Lauréat du « Prix d’écriture 2015 » décerné par le magazine « Participe Présent » que j’ai eu l’honneur de présider cette année-là, Michel Brignot, médecin pneumologue dolois, m’a adressé son manuscrit intitulé « L’erreur de trop » en me demandant de le préfacer.

J’ai été immédiatement séduit par le travail de cet auteur qui révèle ses grandes qualités humaines et littéraires. Il use d’un style sobre, parfaitement maîtrisé. Ses sujets, très originaux, nous projettent à la fois dans le passé et la vie contemporaine. Beaucoup sont inspirés de faits vécus. En particulier ceux qui relèvent du grand large, de l’océan. L’auteur a une longue pratique de la navigation à voile. Cela se ressent. L’épopée de « La belle sirène » dont l’équipage se trouve confronté à une terrible tempête est une belle évocation de littérature maritime, digne de figurer plus tard dans les anthologies. D’autres récits comme ceux qui se déroulent dans différents pays que Michel Brignot a visités au cours de sa vie sont passionnants, souvent agrémentés d’un brin de suspense. On a hâte d’en connaître la suite en tournant les pages.

Dégustez ce livre pimenté comme un plat exotique. Vous ne le regretterez pas !

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Prix Louis Pergaud 2020 

Toutes ces erreurs dont la vie nous accable. Qu’elle nous impose ou que nous faisons de nous-même. Il en suffit d’une, celle de trop, pour que notre univers bascule.

Loin d’être une fatalité, elles peuvent nous donner l’occasion de prendre une nouvelle direction ou de nous reconstruire une autre vie.

Pour les plus faibles ou les moins chanceux, elles déboucheront sur des drames qui laisseront à jamais des cicatrices avec lesquelles ils devront apprendre à vivre. Pour les autres, elles ne seront que de mauvais souvenirs.

À travers ces nouvelles, j’ai mis en scène des personnages chez lesquels elles ont pris une place qu’ils n’auraient jamais soupçonnée.

Certains d’entre eux en paieront le prix fort…

Préface d'André Besson

L’art de la nouvelle a toujours été un genre littéraire difficile. D’abord par sa brièveté, son besoin de concision. Celui d’aborder des sujets capables de susciter dès les premières lignes l’intérêt des lecteurs. De capter leur attention. A l’époque romantique, beaucoup de grands écrivains l’ont pratiqué : Victor Hugo, Prosper Mérimée… Mais c’est surtout Maupassant qui lui a donné ses lettres de noblesse.

Jusqu’à la Seconde Guerre mondiale, ce genre s’est bien développé. Louis Pergaud avec « De Goupil à Margot », Jean Giono avec « L’homme qui plantait des arbres », Marcel Aymé avec « Le Passe-Muraille » ont écrit des textes que l’on n’a pas oubliés. Après la Libération, les intellos du monde germanopratin qui imposent depuis Paris leurs goûts en matière d’art et de littérature à l’ensemble du pays ont dénigré la nouvelle. Beaucoup d’éditeurs ont renoncé à en publier. Seule la littérature policière n’a pas été touchée par les oukases des petits marquis de Saint-Germain-des-Prés. Après avoir obtenu, en 1971, le Grand Prix du Roman Policier CIF, j’ai continué à pratiquer cet exercice sous ma signature et divers pseudonymes dans de nombreuses revues spécialisées. Comme lecteur, je me suis toujours intéressé à ce genre littéraire qui commence heureusement à refleurir de nos jours en librairie.

Lauréat du « Prix d’écriture 2015 » décerné par le magazine « Participe Présent » que j’ai eu l’honneur de présider cette année-là, Michel Brignot, médecin pneumologue dolois, m’a adressé son manuscrit intitulé « L’erreur de trop » en me demandant de le préfacer.

J’ai été immédiatement séduit par le travail de cet auteur qui révèle ses grandes qualités humaines et littéraires. Il use d’un style sobre, parfaitement maîtrisé. Ses sujets, très originaux, nous projettent à la fois dans le passé et la vie contemporaine. Beaucoup sont inspirés de faits vécus. En particulier ceux qui relèvent du grand large, de l’océan. L’auteur a une longue pratique de la navigation à voile. Cela se ressent. L’épopée de « La belle sirène » dont l’équipage se trouve confronté à une terrible tempête est une belle évocation de littérature maritime, digne de figurer plus tard dans les anthologies. D’autres récits comme ceux qui se déroulent dans différents pays que Michel Brignot a visités au cours de sa vie sont passionnants, souvent agrémentés d’un brin de suspense. On a hâte d’en connaître la suite en tournant les pages.

Dégustez ce livre pimenté comme un plat exotique. Vous ne le regretterez pas !