Ce roman à clef n’est pas sans nous évoquer Adán Buenosayres de Leopoldo Marechal, où un groupe d’artistes parcourent les quartiers de leur ville à la poursuite de leur essence ultime, tout en philosophant avec de grands discours délirants, somptueux et ironiques, tout comme nos quatre Argentins égarés dans leur exil parisien. Y a-t-il pire que l’exil ? Dans ce roman à l’écriture étonnamment riche, drôle et créative, la réponse est oui : pire que l’exil est le « dés-exil », un retour à la folie qui guette dans leur terre d’origine les aventuriers de l’oxymoron, cet amour impossible entre des mots que tout semble opposer.
Traduit de l’espagnol par Guillermo Nemirovsky
ISBN : 979-10-97210-03-8
Co-édité par Milena Paris et Héliotropismes
Ce roman à clef n’est pas sans nous évoquer Adán Buenosayres de Leopoldo Marechal, où un groupe d’artistes parcourent les quartiers de leur ville à la poursuite de leur essence ultime, tout en philosophant avec de grands discours délirants, somptueux et ironiques, tout comme nos quatre Argentins égarés dans leur exil parisien. Y a-t-il pire que l’exil ? Dans ce roman à l’écriture étonnamment riche, drôle et créative, la réponse est oui : pire que l’exil est le « dés-exil », un retour à la folie qui guette dans leur terre d’origine les aventuriers de l’oxymoron, cet amour impossible entre des mots que tout semble opposer.
Traduit de l’espagnol par Guillermo Nemirovsky
ISBN : 979-10-97210-03-8
Co-édité par Milena Paris et Héliotropismes